Bonjour tout le monde ! Ici Sarah, votre dévouée. Aujourd’hui on va simplement discuter nourriture, calmement, paisiblement, sans controverse aucune et dans le respect de… Oh et puis zut, nier les faits ne servira à rien, les Sarah ont raison, autant crever l’abcès tout de suite. Plus tôt dans la semaine, lors de l’une deLire la suite “13. Côtelettes et courgettes”
Archives de l’étiquette : Coup de gueule
12. Tabac et liberté
Purée, tu parles d’une démocratie ! Les Sarah deviennent de plus en plus difficiles à contrôler, il va falloir que je fasse quelque chose à ce sujet. Pourquoi suis-je là déjà ? Ah oui ! Le tabac, c’est (toujours et encore) tabou Cette semaine, nous avons eu la journée mondiale sans tabac. La presse aLire la suite “12. Tabac et liberté”
11. De la liberté de mettre des chaussettes
Bon. Je m’étais juré de ne pas aborder ici la pandémie, les vaccins, les mesures, bref, la situation sanitaire en général. Non pas que ça ne soit pas important à mes yeux, hein, bien au contraire ! Mais ces thématiques sont trop actuelles, trop volatiles, trop polémiques pour un blog comme celui-ci. Même Sarah-Militante n’estLire la suite “11. De la liberté de mettre des chaussettes”
5. Mireille (et sa vision de la santé)
Aujourd’hui, les cocos, rien ne va. Pour commencer, j’ai eu un mal fou à me réveiller, je suis partie de chez moi complètement à la bourre pour finalement arriver de mauvais poil à la première réunion de la matinée, qu’un crétin de manager a cru bon de placer dès huit heures tapp… Quoi, encore, Sarah-HonnêteLire la suite “5. Mireille (et sa vision de la santé)”
3. Meurtre à petit feu
Bon, il semblerait que je me sois un peu laissée emporter dans mon article précédent. Pas que je le regrette, hein, mais le conciliabule des Sarah tenu le soir même ne fut pas des plus simple, au grand dam de mon mari. Petit extrait des minutes de ma chambre à coucher, vendredi soir, à 23h30Lire la suite “3. Meurtre à petit feu”
1. Il était une fois, dans un monde bien pourri
J’en peux plus. Il ne se passe pas vingt-quatre heures sans que quelque chose me donne envie de crier, d’hurler, d’appuyer sur un bouton rouge qui ferait sauter cette fichue planète. C’est ça, vieillir ? Trouver chaque jour le monde et les gens qui le peuplent un peu plus insupportables que la veille ? Franchement,Lire la suite “1. Il était une fois, dans un monde bien pourri”